3ième étape : GAVARNIE - FOS

 


- Dimanche 1er Août 1999 - GAVARNIE - GITE DE SAUGUE -

 

 

Gavarnie

La grange de Holles est notre point de ralliement pour demarrer cette 3ième étape tant attendue. Nous étions arrivé l'an dernier exactement à cet endroit et c'etait normal de redemarrer de ce lieu proche du cirque de Gavarnie. Nous avions décidé de ne marcher que 2 heures la première journée, en effet c'etait une étape pour permettre de raccourcir celle du lendemain. Située à 1480m d'altitude la grange de Holles est accessible en voiture avec parking pour pouvoir laisser les voitures plusieurs jours. Nous voila parti equipés pour plusieurs jours de marche jusqu'à Fos. Cette étape, ne permet pas de voir grand chose quand au paysage, c'etait là un bon échauffement avec une petite montée pour se retrouver sur le plateau de Saugé à 1640m, tranquillement en prenant son temps , on arrive enfin au gite d'étape de Saugué à 1610m.

 

Le cirque de Gavarnie

NOTRE AVIS: L'étape est courte, simple, pas forcèment utile, on peut facilement effectué cette étape avec la suivante, le gîte de Saugué est sympa, propre, au calme par rapport à celui de Holles,en fait c'est ici que démarre vraiment la randonnée.

Plateau de Saugué

 


 

- Lundi 2 Août 1999 - GITE DE SAUGUE - LUZ SAINT SAUVEUR

 

 

Cascade de la Soutarra

Cette fois ci c'est le vrai départ , après une nuit un peu agitée avec les ronflements habituels et un petit dejeuner un peu leger à cause du nombre de randonneur, sous une pluis fine, le groupe se met en marche, rapidemnt les ponchos sont rangés et le someil revient illunimer tout le monde. Une petite montée d'entrée pour admirer le panorama avec Gavarnie en contre bas pour atteindre le col de Superpeyre à 1725 m au milieu d'iris jonchants le sentier emprunté. une petite descente le long d'un torrent met dejà les jambes à rude épreuve avant de pique niquer. Passage à la croupe de Pouey-Boucou 1874m puis la grange de Bué a 1482m, c'est enfin la descente vers Luz, on retrouve la route, certains préfèrent continuer par cette voie pour rallier la ville, d'autres plus puristes continuent par le GR10 ou il faut monter de façon difficile, une vive montée permet à nouveau de mettre les mollets à contribution avec pour certains un fourire qui restera graver dans les mémoires devant le désarroi de quelqu'uns grogant devant la montée. La croix de Sia atteinte à 1025m est le dernier sommet de la journée, les derniers kilomètres ne sont pas les plus belles, c'est l'arrivée à Luz, une petite ville tes agréables , jolie et tres fréquentée.

 

Crêtes de Pouey-Boucou (1826m)

NOTRE AVIS: Cette étape est sympatique, on a pas encore vraiment quiter la civilisation , puique à plusieurs reprises on croise la route et les voitures. De jolies paysages sont traversés sur des sentiers propres et bien indiqués. Enfin l'arrivée à Luz permet de faire du ravitaillement et de se laissr tenter par une petite mousse.

Luz Saint Sauveur

 


 

- Mardi 3 Août 1999 - LUZ SAINT SAUVEUR - BARREGES

 

 

Au revoir Luz !

Le départ de Luz Saint Sauveur s'effectue à 8h, c'est tout d'abord doucement que l'on quitte Luz par la route qui monte legèrement, à la file indienne pour ne pas prendre de risques par rapport aux voitures, on récupère tres vite un sentier et comme d'habitude sur le GR10, il faut monter a son rythme. Les matins toujours , le silence dans le groupe est assourdissant, les premières sueurs font leurs apparitions, rapidement il faut s'arreter pour boire pour les uns, poser une casquette pour les autres ou s'alimenter pour les derniers. La montée est sèche dans la forêt domanial par la crête de Couret ou le sommet culmine à 1322m, le soleil pointe son nez et laisse transparaître des visages brillants de transpiration. C'est le moment d'une pause rafaîchissante ou les premiers attendent les derniers. Le sentier continue flanc de colline ou enfin on peut laisser es mollets récupérer, le paysage est beau, on surblompe les villages de Viella, Viey, Betpouey et Sers. Puis arrive la pause casse croute non loin 'un gîte d'étape dans la zone de Boulou au dessus d'Alet, chacun y va de ses nouilles asiatiques pour certains, de son saucisson pour d'autres, de sa compote. La descente sur Barèges s'effectue dans la douceur en traversant le ruisseau du Boulou tout d'abord, en finissant par rallier le village qui se situe à 1240m d'altitude, par les bois, le sentier arrive très près du gîte d'étape, ce sera une bonne nouvelle por certains.

Votre serviteur au charbon.

NOTRE AVIS: Petite étape sympathique avec un impressionant casse pattes d'entrée d'étape, une montée sèche et particulièrement raide, attention il vaut mieux grimper à son rythme. Ensuite on surblompe de jolies vallées et on retombe à nouveau dans un village, barèges est un village de haute montagne, possibilté de ravitaillement, mais guère plus. Le gite est fonctionnelle, il peut accueillir d'autres personnes que des randonneurs.

 

 


- Mercredi 4 Août 1999 - BARREGES - LAC DE L'OULE

 

 

Crêtes de Barris d'Aubert

Réveil aux aurores pour cette étape prévue pour être la plus longue de la 3ième année. On savait que cette jouenée serait longue, très longue même, dès le départ le dénivelé reste régulier pour monter jusqu'au pont de Gaubie 1538 m, le temps est nuageux aujoud'hui, mais pas de rique d'averses, on monte on monte toujours d'un pas lent régulier, toujours un pas devant l'autre en écoutant son coeur. Nous oasson près de la cabanne d'Aygues cluses 2150m, on commence vraiment à se sentir petit et enfin on a quitté la civilasation, c'es plus précosèment au col de madamète près du lac de madamète, le point culminant de la journée après 4 heures 30 de marche qu'on décide de pique niquer. le site est magnifique, mais il faut continuer rapidement, tout de suite après une lègère descente, nous voila à nouveau gravir les pentes avec le lac d'Aumar en point de vue, pour atteindre le col d'Estoudou à 2260m au coeur du Néouvielle, magnifique région ou lacs et étendues herbeuses se coitoient. le site est splendide, pas loin les crêtes superbes de Barris d'Aubert , non loin aussi, le pic du midi de Bigorre qui semble à portée d'ailes. Le néouvielle est célèbre pour ces paysages photogéniques, il vrai que les appareils crépitent, la journée n'est pas terminée , il faut redescendre encore pour arrivée près du lac de l'Oule, dans un refuge exactement, il est 19h enfi et c'est l'arrivée, il n'y a plus qu'a se laisser servir pour apprécier le repas tant attendue.

 

NOTRE AVIS: La région du Néouvielle est un endroit superbe, ou cela vaut le coup de transpirer, l'étape est longue mais on combien exaltante, monter, descendre, monter, toujours le même rythme mais jamais les mêmes sensations, c'est le charme de cet endroit. Les lacs sont la aussi pour se rafaichir les pieds par temps de grande chaleur, attention ne pas oublier l'appreil photo, vous pourriez le regretter.

 


 

- Jeudi 5 Août 1999 - LAC DE L'OULE - REFUGE DU BASTAN

 

 

Aujourd'hui est une petite étape, elle va permettre de se reposer de la veille. Après une bonne nuit et copieux petit dejeuner, nous voila parti pour le refuge de Bastan non loin de là. Point de difficultés ce jour, quelques montées jusqu'à la bifurcation du bastan à 2110m mais pas très longues pour longer un joli lac, enfin arrivé au refuge du Bastan, refuge géré par la poste, chaque été c'est un postier qui s'occupe de ce joli refuge ou la salle de bain et les toilettes font parti de la nature. Le refuge est situé à 2240 m d'altitude, la saale de repas se tranforme également en dortoir le soir, en effet le reguge est petit, quelques matelas et hop, nous voila installé, nous avions qu'une crainte c'est le heniissement de Martin l'âne fidèle gardien des lieux.

 

NOTRE AVIS: Voici une jolie étape, courte, pas difficile avec des lacs, des montées, des descentes au milieu d'un joli paysage et puis la découverte d'un sympathique refuge ou le gérant est exquis avec son âne Martin. Cette étape peut etre éviter mais c'est dommage pour ceux qui apprécient les refuges en montagne au naturel.

 


 

- VENDREDI 6 Août 1999 - REFUGE DE BASTAN - SAINT LARY

 

Départ à 7heures 30 de Bastan vers le col de portet ou des vautours ont fait de cet endroit un lieu de rencontre. Le sentier traverse les nombreuses télécabines utilisées l'hiver lorsque les pentes sont enneigées, c'est là une station de ski ou des ouvriers travaillent activement à la préparation de la saison hivernale. Le col de Portet atteint (2215m), nous croisons une route celle qui descend sur Saint Lary. Le GR 10 surplombe la route pendant un bon moment de façon régulière, la descente est agréable malgré un gros orage plus impressionant que dangeureux, quelques mesures de sécurité sans s'affoler et tout se passe à merveille, on croise des vaches indifferentes à notre sort qui broutent paisiblement. Le panorama nous laisse deviner le village de Soulan, petit village avant Saint Lary. La pente est douce pour atteindre tranquillement Vielle Aure (800m d'altitude). L'arrivée sur Saint Lary se fait par la route, malgré quelques hésitations pour trouver le gîte d'étape, nous voila enfin arrivés. Saint Lary se trouve à 800 m d'altitude , par rapport au 2240m du départ, cela fait une belle étape de descente accomplie avec beaucoup de plaisir.

 

NOTRE AVIS: On quitte Bastan avec regret en se disant qu'un jour on y reviendra tellement cela a été agréable. On retrouve la ville avec Saint Lary, tres jolie petite ville ou on peut aisément se ravitailler, le lieu est touristique avec ces bars et ces pubs, cela change de la veille..

 


 

- SAMEDI 7 Août 1999 - SAINT LARY - GERM

 

Loudenvielle

Le départ pévu à 8 heures avait un peu de retard compte tenu du nombre inportant de randonneurs cette année. D'abord un peu de goudron pour quitter Saint Lary, puis une montée progressive sur un sentier fréquenté par les vaches pour arriver sur Azet. L'une d'entre elles et son petit nous servent de guides jusqu'au col de Peyrefitte (1168m). Ce fut ensuite une longue marche sur un plateau avec peu de dénivellé pour atteindre le colurret de Latuhe a 1586m. Beaucoup de monde dans cette partie, des hollandais découvrant les pyrénées, ou encore des espagnols pas loin de chez eux. La vue du col est magnifique, on aperçoit le village de Loudenvielle, en bas et puis celui de Germ plus haut perché. La descente est sympathique, le village semble jolie, il fut il y a quelques année le théatre d'une belle étape de montagne lors d'un tour de France. La descente sur Loudenvielle est agréable, la halte sur ce petit villages est sympathique, le temps de prendre une petite bière et de faire quelques courses, nous revoila sur le sentier pour atteindre Germ. La montée est rude, il faut atteindre 1339m à travers bois, les gouttes de bière transpirent directement des front, pour certains ce breuvage aura couper les jambes pour d'autres elle aura redonner des ailes. La montée fut l'occasion d'une course magnifique ou les plus en forme avaient trouvé un terrain idéal. Le gîte est magnifique avec une magifique piscine, il était temps car l'orage guettait ce soir là.

 

Le gite de Germ

NOTRE AVIS:Jolie étape, la découverte du village de Loudenvielle vue d'en haut est magnifique, mais la vue de la montée vers Germ laisse tout le monde sur les pattes. Aussi la découverte de ce petit village perché avec son accueil et sa piscine est comme un petit coin de paradis. Attention si vous arrivez le jour de la fête de Loudenvielle, il va surement falloir vous débrouiller a vous préparer le pti dej, les nuits sont difficiles pour certains.

 

 


- DIMANCHE 8 Août 1999 - GERM - GRANGES D'ASTAU

 

La cabane d'Ourtiga

Départ a 8h du gite de Germ pour une première petite montée jusqu'à la prise d'eau d'EDF à 1487m, ensuite enchaine un vaste replat qui permet d'atteindre la cabane d'ourtiga située a 1620 m. Après une petite pause , nous revoila repartis pour une montée sévère faisant mal aux jambes. Le sommet du pas de couret d'Esquierry est à 2131m , sommet de la journée, qui a vu nombre de randonneurs transpirer.C'est aussi a cet endroit le moment pour le casse croute; l'occasion de remettre du carburant dans le moteur en surchauffe. Le paysage est joli et agréable. Enfin la descente vertigineuse puisqu'il faut atteindre 1139m soit 1000 m de chute libre pourariver aux grange d'Astau, lieu ou les campings car et voitures font bon ménage. Il y a du monde, l'endroit parait sympa, l'acceuil aussi.

NOTRE AVIS:Etape de routine ou on monte mais ou surtout on subit une descente assez rude pour les genoux et cheviles, attention d'etre en possession de ses moyens, dans quoi on pourrait le regretter, l'étape est jolie, on retrouve la civilisation , les voitures , les touristes, et pour cause , ici est un lieu de "pelerinage vers le fameux lac d'Oô.

 


- LUNDI 9 AOUT 1999 - GRANGES D'ASTAU - BAGNERES DE LUCHON

 

 

Le magnifique lac d'Oô

Départ assez tot pour cette étape , comme d'habitude il faut dejeuner confortablement, les efforts de la matinée vont etre à nouveau dur. On débute par un large chemin souvent emprunté par les randonneurs du dimanche qui vite le lac d'Oô. Le sentier monte tranquillement, il faut exactement une heur pour atteindre le lac, magnifique avec sa cascade qui surplombe l'endroit. Juste un arrêt et nous revoila en piste pour une belle grimpette vers l'ascension du col d'Espingo et de son lac. La montée est raide tantot dans les bois , tantot dans les pierres, o voit meme certains nous doubler portant leur toutou sur le devant, quelle santé !! l'arrivée au lc d'Espingo se fait à l'altitude de 1967m, il y a la une cabane servant de refuge devant une magnifique cascade. Mais pour rallier Luchon, il faut rebrousser chemin pour reprendre le sentier du GR10 un peu plus bas sur la gauche, en fait nul est besoin de monter jusque la pour continuer son chemin. On découvre alors une forte montée, difficile la hourquette de Hounts, point culminant 2267m, le chemin s'élève en zigzag à flanc de montgne avec vue planante sur la cacade et le lac d'Oô? Il faut monter à son rythme, c'est long, mais le paysage à découvrir mérite les souffrances. IL faut trouver un endroit pour se ravitailler, pas en haut au col, trop de vent, pourtant que la vue est belle et unique? Après la pause pique nique , c'est reparti en direction de la coume de Bourg 2272md'ou on peut apercevoir le pic de Céciré 2403m. A nouveau une belle grimpette certains peuvent se faire plaisir en avalant la montée. Le spectacle qui nous attend est superbe et la vue dégagée sur la chaine des Pyrénées d'Est en Ouest, ainsi on peut voir le massif de la Maladeta, mes montagnes Espagnoles enneigées.Il faut descendre pour rallier superbagnères d'ou on peut très vite descendre sur Luchon (à noter que la descente à pied n'a aucun intéret, mieux vaut utiliser les telecabines, plus agréables)

 

NOTRE AVIS :C'est vraiment une magnifique étape, qu'il faut absolument faire, le lac d'Oô vu d'en haut est une merveille, le massif Espagnole non loin est spendide, les sentiers sont beaux, parfois rudes, la visite jusqu'au lac d'Espingo mérite le détour, la journée fut merveilleuse et tant pour ceux qui n'ont pas le courage de continuer après le mithyque Lac d'Oô.

 


- MARDI 10 AOUT 1999 -- BAGNERES DE LUCHON - CABANE DE PEYRAHITTE

 

 

La fontaine d'Artigues

Nous voici à l'avant dernière étape, il nous paraissait pas evident de faire Luchon à Fos en une seule fois, c'est pourquoi nous avions décidé de la couper en deux et de faire une pause pour la nuit à hauteur du col de Peyrahitte. Aprés avoir quitter Luchon située a 650m d'altitude, nous voila tout de suite dans le vif du sujet par une montée pour atteindre le petit village de Sode à 1033 m, les gouttes de sueurs sont à nouveau de circonstance. On découvre un ecureuil mais pas d'ours et c'est tant mieux et cette montée qui n'en finit pas au milieu des bois sur des sentiers parfaitement entretenus.Nous voici à Artigues charmant petit village avec sa jolie fontaine pas tres loin de l'église. Le temps menacant nous oblige à repartir rapidement après le casse crôute traversant champs de myrtilles et de bruyères. Après avoir passé la cabane de Saunères à 1660m et bavarder avec des bergers du coin, nous retrouvons le brouillard, heureusement le chemin est balisé, il faut quelques moments d'inattention pour se perdre mais rapidement le lien est fait dans le groupe. Sans gite ni refuge dans le coin, nous n'avons d'autres choix que de camper près de la cabane de Peyrahitte (1947m), l'endroit est sympa mais il faut quand meme faire du feu pour se rechauffer avant de passer une nuit ou peut etre l'ours peut faire son apparition.
  NOTRE AVIS: C'est une belle étape , difficile qui monte sans cesse soit 1200m de montée environ au travers de paysages diffférents. On se retrouve en pleine montagne seul pres de moutons et de leurs gardiens qui protègent leurs troupeaux grace à des enclos electrifiés pour contrer les ours qui souvent s'aventurent dans le coin, belle étape néanmoins car on espère entrevoir le plantigrade.

 


- MERCREDI 11 AOUT 1999 -- CABANE DE PEYRAHITTE - FOS

 

 

C'est la dernière étape de la troisième saison, on est encore un peu triste car c'est dejà fini, aussi il nous reste à finir ette demi étape entamer la veille. Aprés avoir ranger le matériel de campement, le groupe se met en marche, il nous fallait absolument sortir du brouillard pour se retrouver au dessus d' une mer de nuage afin d'assister à l'éclipse solaire. Au passage d'une chevrée d'Isards surpris par notre arrivée, nous voila enfin à l'étang du dessus à 2018m. La rencontre avec un berger du coin et de son chien Fanou nous permeit d'attendre le passage de la lune devant le soleil. Une petite escapade au pic du Burat a 2154m nous dévoila un panorama unique avec en point de mire le massif d'Aneto et sa chaine. Nous avions prévu des lunettes de cirsconstance pour assister à l'événement historique, ce lui de l'eclispe. le berger en profita aussi. La descente sur Fos fut terrible, 1500m de dénivellé dans les bois et sur un sentier de pierres particulièrement dangeureux sous la pluie, les genoux entamés, les pieds echauffés, les jambes plutot meurtries, nous voila en fin de saison , cette arrivée à Fos fut l'occasion d'une belle fête avec chansons et bonne huemeur pour se donner rendez vous pour la 4ième année.
  NOTRE AVIS: Partir de Luchon puis passer par la cabane de Peyrahitte pour arriver sur Fos voici une belle étape longue mais agréable avec des points de vue extraordinaires. Certes la descente sur Fos est dure et pénible surtout par temps de pluie, mais cela vaut largement le coup d'oeil et puis la possibilité pourquoi pas de voir l'ours ..... (n'y croyais pas trop quand même), c'est ça les Pyrénées......

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